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écrire, parce qu’on ne peut faire autrement
question d’articuler les hurlements
opaques
remplissant
la tête
les yeux
la trachée
les yeux, exorbités, tentent de comprendre
mais ne suivent pas
un tout désordonné
bancal
mais qui avance, lentement
écueils sournois
brûlés à la pointe de mon clavier
trop souvent
oublié