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..sont celles que l’on n’écrira jamais.”
Il n’appartient qu’à nous de les amorcer. De faire apparaître, petit à petit, des bouts d’os, puis de ligaments, de tendons, de vaisseaux sanguins, de muscles, de couches de peau, de graisse… D’habiller notre créature ainsi bâtie, même si elle est un peu bancale et qu’elle est disproportionnée, puis de lui donner un but, une motivation, une histoire, des souvenirs, et de la libérer dans la nature de notre univers.
C’est tout cela: instiguer un univers qui nous reflète, laisser libre cours à son imagination, à son arrogance (si l’on désire), à tous les démons que nous dissimulons, car l’on est un peu (trop) peureux de les afficher au vu et au su de tous. Qui aime se faire juger?
Pas moi, en tout cas.
Psst! En attendant, il ne reste que 11 jours à mon défi d’écriture (en collaboration avec une amie de l’université), si ça te tente de me lire, c’est par ici.